Epilogue 

Bonne nuit, gros petit déjeuner sur la terrasse de l'hôtel, il ne faut pas perdre les bonnes habitudes. On part faire quelques courses pour finir nos dirham et Saïd nous accompagne à l'aéroport. On a cru que nos aventures se terminaient là, mais que nenni! Arrivés a l'aéroport, on dit au revoir à Saïd et commence déjà à parler de futurs parcours. On se trompe de terminal, ça ce n'est pas trop grave, et on a l'habitude (on ne vous l'a pas dit, mais on a fait la même erreur au départ d'Orly). Le vol n'est de toute façon pas encore annoncé. On attend, le terminal est plein, Marseille est toujours en train d'enregistrer et a déjà 1 heure de retard au décollage. Finalement les guichets d'enregistrement sont annoncés pour notre vol, on se met dans la queue, attend une bonne heure avant que quelqu'un finalement soit derrière le guichet puis décide de fermer ce guichet. On se réparti donc sur les 3 autres guichets.... bref un gros bazar. Et puis ça n'avance pas, le guichet pour Nantes finalement enregistre aussi le vol de Paris, Bref au bout de 3 heures et presque 1 heure de retard sur le vol (déjà), on arrive au guichet, on enregistre nos bagages (en priant qu'ils ne se retrouvent pas à Nantes), et on nous donne notre carte d'embarquement, ou plutôt notre coupon de teinturier, vous savez la petite partie détachable libre. Pas de place attitrée, placement libre, marqué à la main ORY sur le bout de papier. Je rappelle que l'on est quand même dans un Boeing 777 de plus de 580 places! On passe la sécurité (ou ce qui tient lieu de "sécurité"), je passe les détails. On arrive sur le tarmac, on nous fait presser et on monte dans l'avion, où l'hôtesse dit à son collègue,"... mais n'en faites plus monter, il n'y a plus de place!" On nous dit d'aller au fond et qu'il doit rester encore 6 à 8 places de libres. On s'assoit tant bien que mal. Les passagers qui attendent, pour certains depuis plus de 1 heure à leur siège, se demandent ce qui se passe. Les portent se ferment, les consignes de sécurité sont comme d'habitude expliquées avec un des stewards qui fait le pitre et nous fait bien rire. Plus tard durant le vol en discutant avec une des hôtesse, on apprend qu'elles n'ont même pas la liste des passagers et qu'elles ne peuvent même pas faire une correspondance bagages – passagers. Elles n'ont jamais vu ça en 15 ans de carrière. Un peu Hitchcockien. Finalement, nous sommes bien arrivés à Paris. Les vacances sont cette fois-ci réellement terminées et nous pouvons commencer à penser aux suivantes.

A bientôt pour de nouvelles aventures.
Laurent(s), Julie(s), Arno, Magali


Julie Etur

Laurent Etur

Julie Larive

Arno Larive

Magali Larive

Laurent Butré


Saïd Jarara
( Super ) Guide de Montagne
Aazab Aventure